Scènes et images du tranport aérien, sur l'aéroport de paris.
Sur l'aire de départ, au Bourget, les voyageurs pour Londres prennent place à bord d'un quadrimoteur pour quarante passagers : le Handley Page Horatius, des Imperial Airways.
Un trimoteur Wibault, de la Cie Air France, avion rapide pour dix passagers, arrive d'europe.
Dans le soir tombant, il descend près des phares et des indicateurs d'atterrissage dont les feux de position vont s' allumer.
Un trimoteur Farman arrive d' Amsterdam.
Le pavillon d' Air-France est hissé dès l'atterrissage ; les voyageurs vont vers la douane où les formalités sont rapides, à l'exemple du voyage.
Entre deux voyages quotidiens, un trimoteur reçoit les soins indispensables, minutieusement réglés par des consignes.
On fait les " pleins ", on vérifie les moteurs, on nettoie la cabine.
Un avion particulier venant de suisse.
Portant les lettres d'immatriculation fédérale, cet appareil voisine sur l'aire de départ avec un petit bimoteur " Dragon " des Hillman's Airways, compagnie qui assure sans subvention d'état plusieurs services quotidiens entre Paris et Londres.
Le plus rapide trimoteur de la Deutsche Lufthansa.
Un junkers " ju 52 ", tout métallique, quitte l'aire de départ pour aller se placer face au vent ; il est 16 h 30, l'avion sera à Berlin moins de cinq heures plus tard.